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dimanche 28 décembre 2014
Tous les enfants, vous le savez, sont des bouleaux
Par lilibellule le dimanche 28 décembre 2014, 15:04 - Les enfants sur le toit
jeudi 25 décembre 2014
Noël, ne pas oublier les cornichons !
Par lilibellule le jeudi 25 décembre 2014, 06:00 - Le ciel est par-dessus le toit


Nativité, façade ouest cathédrale de Chartres, vitrail central de l’Incarnation
“S’arrêter, se taire, 
ne plus bouger, ne plus penser, 
ne plus diriger, ne plus s’inquiéter, 
ne plus se soucier *, tout déposer, juste se reposer, 
se laisser aimer, se laisser faire, se laisser revivifier, 
s’unir, s’offrir.”
Louis-Marie Boivineau 
“Venez, adorons-le” 
dans Parole et silence
lundi 22 décembre 2014
Nuit d'hiver
Par lilibellule le lundi 22 décembre 2014, 09:31 - Le ciel est par-dessus le toit
Imaginez lorsque la mort se fait enfant
qu’il neige sur les derniers bruits.
Nadia Tuéni
Poète Libanaise, 1935- 1983
Avec ce poids dans le coeur, je voudrais pourtant vous parler d’une annonce “lue” dans la pierre, à Chartres, cet automne 
à laquelle fait écho pour moi un superbe poème de Luc Bérimont à lire et relire à voix haute.
vendredi 19 décembre 2014
Cadran
Par lilibellule le vendredi 19 décembre 2014, 06:00 - Le ciel est par-dessus le toit
Le temps ! Je n’aurai jamais le temps de ranger ma maison, de dépoussiérer, de faire mes listes d’achats, d’arpenter les magasins, de penser à la déco, aux menus et aux mille bricoles qui réclament mon attention et mes quatre mains pour se faire. Chaque année c’est le même topo, à la mi-décembre, les désirs, les appréhensions se bousculent, avec en toile de fond le sentiment de passer à côté de ce qui rend vraiment heureux : la liberté d’aimer et de se laisser aimer en prenant le temps. Sans se bousculer indéfiniment. Suis-je donc seule à penser et vivre ainsi ?

L’ange au cadran à l’angle de la Cathédrale de Chartres, octobre 2014
lundi 15 décembre 2014
Pauvreté
Par lilibellule le lundi 15 décembre 2014, 08:51 - Le ciel est par-dessus le toit
Pauvreté, le mot rime avec étrangeté. Et pourquoi pas avec anachronisme. Surtout, sous nos latitudes, en ces temps de grands déballages et de gaspillage. Pourtant des auteurs, poètes, sculpteurs, ont su faire chanter la pauvreté. Pas la misère, celle qui humilie en prenant à la tête, aux tripes … Mais une forme de simplicité et d’unité de la personne qui ouvrent un chemin vers soi et vers les autres.
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