Petite pause avant de s’engager dans “L’allée sans retour” … Histoire de gagner un peu de temps, hé, hé ! De s’aérer l’esprit de façon intelligente -bien que diamétralement opposée. Histoire surtout de chahuter les trois neurones que nous avons encore en tête !
Sur le blog de PJTG*, je me suis laissée aller à une écriture qui suit sa propre piste, s’arrêtant quand le bout de mot lui parle, repartant au gré d’une sonorité aimée ou d’une image impossible à coucher avec des mots ordinaires. Cela m’a ouvert des “grappes intérieures” … Ah, le parti pris de la couleur ! Aussi riche qu’un bain dans le beurre avec un Ponge comme maître-nageur.
Voici une série de quatre o’pignons :
L’apente glissante
Apprête la porte
Patine sur le lino
S’étale en tournesol
Et monte monte plus haut
Que le toi si haut cithare
A hauteur de roi
Dans la nuit noire
(Lily F. 25 09 14)


