Un dimanche à la mi-mai, je visitais une exposition temporaire dans laquelle le visiteur pouvait voir une photo géante des carrières de Crazannes. Une photo à la Koh lanta, comme dit ma fille, où le végétal envahit généreusement le minéral et où des trouées de lumière caressent la pierre tout en délaissant des zones vouées à l'humidité, aux mousses et autres envahisseurs sombres comme la suie.