Tout au long de sa vie, mais plus particulièrement durant l’enfance,
la jeunesse, le petit d’homme a des rêves plein la tête. Celui-ci a des
soifs de voyages et d’aventures, celui-là s’imagine en prince fort et
puissant, cette autre en reine belle, aimante et bien- aimée … Quand
on écoute ses rêves les plus fous, ceux qu’on n’ose même pas avouer, on
se prend presque pour le soleil ou le maître de la terre. Ça fait du
bien, libère des énergies et aide parfois à se dépasser.
Pourtant,
seuls, nous ne sommes pas grand chose, vulnérables et souvent bien
minuscules. Grandeur et petitesse de l’être humain, qui est pleinement,
mais simplement une petite partie d’un vaste ensemble. Bonheur de croire
en ses rêves, d’oser les exprimer tout en consentant à sa juste et
modeste place.
Sur les modèles de :
“Je voudrais être le soleil,
mais je ne suis qu’un rayon”,Ou
«Je voudrais être une fleur,
mais je ne suis qu’un pétale»
les lutins ont osé rêver avec humour …
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