“De nos jours, hélas, les fermes ressemblent de plus en plus à des usines et si le genre humain a des efforts à faire, c’est peut-être dans le sens d’un ” progrès du progrès”. Il est tout à fait défendable d’élever des animaux pour manger leur chair et boire leur lait. Mais il faut leur assurer une vie décente et, à la fin, une mort rapide et sans douleur. […] Nous devons (chacun de nous doit) lutter contre l’élevage intensif et les atrocités qu’il suppose.”
Partant de ce constat et de cette volonté de lutte, Philippe Dumas a choisi de “donner du rêve” à ses lecteurs en dessinant la ferme d’hier.  Pour nous guérir de  notre indifférence.