Jeudi, sans le savoir, une blogueuse a déposé à côté de “La mésange” d’Apollinaire un commentaire qui pour moi détient une valeur particulière : il s’agit du cinq millième reçu depuis l’ouverture de ce petit “bar à soupes” où l’on essaie de parler d’enfance, de poésie, de quotidien, de libellules et autres fariboles selon l’humeur. En démarrant modestement ce blog, il y a quatre ans, je ne pensais pas atteindre ce joli chiffre. Merci les amis-internautes ! Votre fidélité me (ré)chauffe le coeur.