J'ai souhaité aborder le thème de la sécheresse pour symboliser les dérèglements climatiques que nous subissons actuellement, même si la sécheresse n’est pas présente, aujourd’hui, dans notre pays.

Terre asséchée, Toulon, Avril 2007, par KoS
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J'ai souhaité aborder le thème de la sécheresse pour symboliser les dérèglements climatiques que nous subissons actuellement, même si la sécheresse n’est pas présente, aujourd’hui, dans notre pays.
Terre asséchée, Toulon, Avril 2007, par KoS
"Désastre naturel"
Léonardo de Vinci (1452–1519) - Entre 1517 et 1518 - Librairie Royale du Château de Windsor
Moi, j'aimais bien cette silhouette, autrefois blonde et grise, qui se reconnaissait de loin sous le soleil. Mais certainement assumait-elle mal son âge, la Maison d'Adam...
Claude Monet (1840–1926) "Matin sur la Seine, le beau temps"(1897)
(Collection : Maison blanche, Washington)
Cela fait 14 ans que la grande poétesse d'origine libano-égyptienne nous a quittés. Hommage.
Photo : Cathie Flore
Il arrive ou alors il sort de son mutisme. L'oiseau. Celui que l'on aperçoit ici ou là, sur une branche, dans le ciel, au bord de l'eau, ou en n'importe quel lieu.
Mésange charbonnière de mon jardin
Il est déjà seize heure au cadran de la montre
Et j'attends quelqu'un, lui ou elle, je l'ignore
Le soleil éclaire joliment les pignons
L'air est doux mais il me manque une présence
Lux se déverse abondemment sur les feuillages,
Les pignons, les colonnes, les façades,
L'herbe du jardin en est gavée.
Robert écrivait un p'tit poème tous les soirs
Moi lorsque la lune claque à ma fenêtre je lis
Ou bien je dors folle évadée de mes pensées.
Avant le coucher Robert prenait sa plume
Et rêvait au lendemain où il espérait
Un plus radieux soleil, de plus ardents désirs
Une vie large comme l'horizon et dense comme une fête.
L'écrivain, le poète, Charles Juliet est décédé vendredi dans sa 90e année. Après une enfance douloureuse, sans cesse, l'homme a puisé les mots en lui pour tenter d'apprendre à vivre. Où que nous en soyons, sa lecture met en chemin.
Par hasard je remets la main dessus
Et dans ma poitrine mon coeur se serre
L'émotion me gagne mais sans m'envahir
Il ne suffit pas d’être en vie, il faut être vivant. C’est-à-dire savoir à chaque instant qu’on est au cœur d’un prodige et être en contact, en harmonie avec lui. C’est difficile, mais lorsqu’on parvient à en prendre conscience, on en reçoit un perpétuel émerveillement qui paie au centuple des efforts que l’on a consentis …"
Interview de René BARJAVEL (dans France-Soir Magazine du 13 octobre 1984) trouvé sur le net.
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