“Lorsque tu te lèves le matin sans savoir où tu iras, sans rien avoir en main pour nourrir tes enfants, ça c’est violence.

Lorsque tu es obligé de te battre contre l’autre pour défendre le peu que tu possèdes, ça c’est violence.

Lorsque tu es toujours obligé de baisser la tête, de fermer les yeux, de ne pas parler, de faire celui qui ne comprend pas, ça c’est violence.”

* Paroles d’une maman de Haïti, reprise dans ma ville à l’occasion de la Journée mondiale du refus de la misère, ce mercredi 17 octobre.