Un blogueur m'indiquait hier en réponse à un commentaire : "On a pu voir dans la presse une photo de canards résistant avec peine aux premiers vents de l'ouragan." J'ai souhaité voir les canards ; ils m'ont conduit aux humains, à leur tragédie, à leur solidarité, à leur force, mais aussi à leur fragilité. Difficile de parler d’événements lointains lorsque l'on n'est pas touché personnellement. Mais ne pas en parler serait pire, certainement !