Une vieille dame dit à son médecin :
- J'ai un problème de flatulences, docteur. Heureusement, mes pets sont silencieux et inodores, mais ils me mettent mal à l'aise en public. Tenez, ça fait bien dix fois que je pète depuis que je suis entrée dans votre cabinet !
Le médecin lui rédige une ordonnance et conseille :
- Prenez ce médicament et revenez me voir la semaine prochaine.

La semaine suivante, la dame lui dit :
- Je ne sais pas ce que vous m'avez donné, docteur, mais maintenant mes pets puent terriblement. Heureusement, ils restent silencieux.
- Bien ! répond le médecin. Maintenant que vos sinus sont dégagés, occupons-nous de vos oreilles …

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Et comme une histoire en appelle souvent une autre, voici celle, véridique ou pas, expliquant l'origine d'une petite gourmandise bien agréable à déguster en ces jours de petite froidure et de grisaille :

"Fulbert-Dumonteil, dans sa France Gourmande, situe la naissance du pet-de-nonne à l'abbaye de Marmoutier, réputée à l'époque pour sa cuisine. Lors de la préparation d'un repas de la saint Martin, où l'archevêque de Tours devait bénir une relique du manteau du saint patron tourangeau, tout le monde s'affairait autour des fourneaux.

« Soudain, un bruit étrange et sonore, rythmé, prolongé, semblable à un gémissement d'orgue qui s'éteint, puis aux plaintes mourantes de la brise qui soupire dans les cloîtres, vient frapper de stupeur l'oreille indignée des bonnes sœurs. »

L'auteur de ce bruit, une novice de l'abbaye prénommée Agnès, gênée face à ses coreligionnaires, aurait alors chancelé malencontreusement, laissant tomber une cuillerée de pâte à chou dans une marmite de graisse chaude." (source : Wikipédia)

Pet-de-nonne

Pets de nonne, Photo Wikipédia, itou
Quant à la recette, mes p'tits loups,
Vous la trouverez partout,
You !