Conte, raconte ! ... Plus je vous conterai, plus je vous mentirai. Plus je vous mentirai, plus je vous dirai vrai ! D'ailleurs le conteur n'est pas payé pour vous dire la vérité. Place au conte !
Contes
Les matriochkas

Vous en ouvrez une, puis une autre, cachée dans le ventre de la première … Enfin, vous en ouvrez encore une et vous mettez la main sur le "trésor", long et gros comme un pouce : la plus petite des matriochkas ! Vous souriez de cette infime trouvaille, des traits naïfs - mais exprimant l'essentiel - de la petiote, puis vous rangez les poupées russes dans un sens, dans l’autre … Vous remettez enfin l'enfançon dans le ventre de sa mère, la mère dans celui de la « baba » et ainsi de suite jusqu’à la bisaïeule. Il y a dans ces gestes un plaisir enfantin qu’on aime renouveler, à tout âge.
Colombe Lecat-Warda, conteuse d’origine russe, raconte que Zoïa, la plus petite des matriochka, a un secret. Ce matin-là, elle quitte son isba et part seule … De rencontres en rencontres, elle découvrira pourquoi elle n’est pas comme les autres. Mais chut ! Ça c’est son secret !
Zoïa, la plus petite des matriochka, conte musical, 45mn, à partir de 4 ans. Colombe Lecat-Warda, Hervé Rolland, Tony Baker.
Poésie du terroir
Jean-François Poussard a une personnalité forte pour dire ce qu'il pense et pour exprimer son amour des régions où il a vécu (région parisienne, lyonnaise et surtout charentaise).
Il est d'abord dessinateur, peintre, photographe ... Et ces dernières années il s'est penché sur les récits cocasses, poétiques,mythiques, parfois loufoques, mais toujours plein de sens, que se transmettaient les anciens pour s'aider à vivre mieux, les uns avec les autres.
Aujourd'hui, beaucoup redécouvrent avec plaisir et intérêt ces saveurs oubliées. Jean-François les entremêle dans des "causeries" où l'humour rivalise avec la profondeur de ses propos.
La soupe au caillou
C’est au sein des “Conteurs Bleus” il y a une quinzaine d’années ou plus, que Blandine nous a conté “La soupe au caillou”. Elle la tenait du conteur Michel Hindenoch. Aujourd’hui, la voilà à ma façon, mais fidèle à la version qui m’a émue la première fois.
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