Pour une bouchée de pain, dans un magasin de dépôt, j’ai pu empocher un Paul Eluard qui n’était en rien corné ou jauni. Un Paul Eluard surréaliste dont la poésie ne s’est pas toujours frayé un chemin dans l’esprit de tout un chacun. L’ouvrage fort heureusement comporte deux parties :
Capitale de la douleur
suivi de L’amour la poésie
Editions Galimard
Dans cette deuxième partie, j’ai retrouvé un poème beau et énigmatique sur lequel j’avais “médité”, il y a un an déjà, à partir du blog de Koka. Vous me connaissez, un peu, j’aime ça, creuser !… La terre, les sentiments, le sens des mots et de ce qui nous entoure, la vie quoi ! J’ai même pris plaisir à les caresser ces mots, ceux du poète, et à les retourner dans tous les sens pour les voir pousser à ma façon. La superbe métaphore des deux premiers vers, évidemment, je l’ai gardée intacte.
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