La soupe au caillou de Lily

En cette fin d’année scolaire, les lutins ont creusé leurs méninges à partir de la question : “Quelles sont les différences entre les animaux et les humains ?” Étonnantes - mais pas tant que ça ! - leurs réponses montrent que, parfois, ils trouvent aux premiers quelques supériorités.

“La terre glaise ou argile est un bonheur pour qui aime travailler avec ses mains et sentir le matériau au plus près de la peau. Modeler la terre, c’est renouer avec un art ancestral et créer au gré de son inspiration.” *

Dans le prolongement de leurs travaux sur le cirque, Lily a proposé aux lutins de réaliser des animaux en modelage. Pour leur plaisir et … pour offrir à leurs parents !

En se promenant ici, Lily a été attirée autant par la couverture de ce livre, sobre et élégante, annonçant un petit bijou d’écriture, que par le thème qui ne lui était pas étranger. Dès les premières pages, elle a été happée par le récit !

Pour elle et pour lui, une jolie ballade sauvage, un après-midi venteux, et le début d’une passion … Pour les papillons !

Le poète est souvent celui qui va à la source. La cherche et puis un jour, simplement, l’accueille.

Sur la blogosphère, circulent des récompenses virtuelles que les blogueurs s’offrent parfois pour mettre en valeur les “univers” dans lesquels ils aiment se promener, s’attarder. Lily est particulièrement heureuse d’avoir reçu un prix de la part de Didi, auteur d’un blog tout à fait passionnant où elle fait découvrir ses Curiosités, naturelles et surtout culturelles. Toujours avec esprit d’ouverture, humour, finesse et légèreté. Merci à cette Stéphanoise dynamique et “touche-à-tout” !

Terminés, les livres des lutins sur le Cirque ont déjà fait l’objet d’une exposition dans une salle municipale. Et vous pourrez bientôt en voir des extraits sur ce blog. Mais, auparavant, petit retour en arrière pour présenter un débat qui a permis de réfléchir et d’entendre des avis divergents : Les animaux sauvages ont-ils leur place au cirque, ou seraient-ils mieux en liberté ? Vous allez voir qu’à six ans on a déjà des arguments.